des versions inédites et revisitées avec malice et poésie de quatre récits traditionnels, arrangés au son du violon, du ukulélé, de la sanza et de chants.
L’eau trace entre deux rives une frontière floue entre normalité et folie, amour salvateur et obscurité, enveloppe sécurisante et instabilité.
Comment trouver son équilibre ? Ne pas perdre pied ? L’eau est l’outil de transformation et de métamorphose. Elle est synonyme de vie et de mort.
Elle est le réceptacle de la chute, permet la bascule, la distorsion mais finit toujours par retrouver son aspect calme et apaisant.